Vous aimez les histoires d'horreurs ?

Vous aimez les histoires d'horreurs ? Oui ? Alors vous en serrez servit ! Chaque jour (Enfin presque) , des histoires seront postées dans ce topic. Elles sont toutes faites par moi.

Je me réveilla assis, à côté d'un homme. Mais cet homme est inconnu. Nous sommes dans une pièce. Une pièce vide et obscure avec un robinet, laissant quelques gouttes d'eaux s'échapper par le bout. Quant à l'inconnu, il est toujours endormis. Je tenta de le réveiller mais mes mains sont reliés aux siennes. Je lâcha un cri qui fut renvoyé par un écho. L'inconnu fit un signe de vie et remuant sa tête, et se réveilla. Quelle fut son étonnement quand il vu où il est. Nous nous présentâmes. Il s'appelle Fred, il a 29 ans, quant à moi, c'est François, 33 ans. Nous ne vivons pas dans le même département. Il vient du Jura, et moi, je viens des Hautes Pyrénées. Soudain, un grincement de porte se fit entendre, puis une ombre apparut. Une femme? Passa le seuil. Non, ce n'était pas une femme mais un homme. Il porta des bretelles, tâchées de sang. La peur monta de plus en plus. Notre coeur bat à cent à l'heure et la chair de poule s'ajoute à notre corps. Il enchaîna quelques mots, dont ni moi, ni Fred comprirent puis sorti une couteau de sa poche. Un couteau bien aiguisé malgrès le sang qui le salit. Il détacha Fred et l'emmena dans une autre pièce. Au bout d'une minute, un cri de peur résonna puis un coup de couteau. L'homme sortit de la pièce et se dirigea vers moi. Je tentais de me débattre, de ne pas subir l'horreur qu'ai pu subir Fred. Il me détacha, m'emmena dans la pièce. Je vit Fred, encore en vie, attaché à une table. Une deuxième table apparut et l'homme me prit dans ses bras et me posa, délicatement sur la table. Il m'attacha puis lava son couteau. Je tentai de parler à Fred mais l'inconnu était trop près. Je tentait le coup, et Fred ne répondit pas. Il ouvrit sa bouche et... Et sa langue n'y est plus ! Il arriva vers moi et me pointa le couteau vers le cou. Il ouvrit ma bouche et sorti un deuxième couteau. Puis, un bonbon et me l'obligea à l'avaler. Il avait un très mauvais goût puis mes paupières commencèrent à s'allourdir puis je m'endormit. Je me réveilla quelques minutes plus tard et je ne sentit que du sang dans ma bouche. Je tentait de remuer ma langue, mais je n'ai plus de langue. Je vit un bocal. Un bocal remplit de langues. La porte s'ouvrit et plusieurs hommes rentrèrent dans la pièce. Le tueur de langue leurs tendirent le bocal. Un des hommes rigola et regarda en notre direction. Il s'approcha, puis commença à dire que désormais, nous n'avons plus de langues. Cette langue sera vendu, quant à nous, nous découvriront le bonheur de dormir à la nature. Il nous fit des piqûres et nous nous endormîmes à nouveau. Nous nous réveillâmes dans une forêt. Les heures défilèrent jusqu'à qu'un joggeur du matin passa à côté de nous et s'inquièta. Il nous dit ce qu'ils nous est arrivés mais nous ne pûmes nous exprimer puisque nous n'avons plus de langue. Fred tenta de pointer sa bouche mais ses doigts sont coupés ! Je regarda les miens, eux également ont disparus. L'homme cria de peur et appela par son portable. Il nous dit qu'il a appelé les secours et qu'ils arriveront vite. Une trentaines de minutes plus tard, des ambulances et des véhicules de polices arrivèrent et nous fûmes transporté sur une civière. Nos mains sont entourés de bandages alors que des médecins nous examinent. Un jour plus tard, des policiers tentèrent de savoir que s'est t-il arrivé mais sans mains et sans langues, ils ne peuvent rien savoir. Une fois rentré à la maison, ma soeur prépara mon lit et je m'endormit. Mais pendant la nuit, un bruit sourd résonna dans ma chambre et je vit une tête dans mon miroir, puis, en rouge sang s'incrit : "Dead__________" Je sursauta puis m'endormit. Je me réveilla le matin, le message n'est plus, mais le mur est couvert dans sang, comme si un meutre est arrivé. Je me leva, je vit ma soeur par terre, comme si elle avait une épilépsie. Elle n'avait plus de mains, ni de langues. Je n'avais aucun moyen de prévenir quoique ce soit. Je me tappa la tête contre l'armoir jusqu'à que je sent quelques chose couler sur mon crânes. Du sang coule dans mon crâne et je devint tout pâle. Je m'endormis, et cette fois, jusqu'à jamais.